Article n°4.

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Effectivement, ce grand être (même s'il tient plus de la taille du bonzaï) aurait été sujet d'une crise de tétanie élevé lorsqu'une certaine vague de rumeurs concernant des sabotages ou autres piratages qui aurait pu nuire à la vie de ce petit bonhomme. Des bruits couraient, les roliens aussi.. Alors cet étrangeté à décider d'empêcher, du moins freiner, la conquête de son royaume par un vilain malfrat. (Oh le coquin !)
C'est ainsi qu'il décida de changer le nom de code de son royaume, y verrouillant ainsi l'accès aux intrus, peu importe leurs noms. C'est ainsi que cet ancien mot de passe se transforma en un cafouillage affreux, des chiffres et des lettres entrechoquèrent... Il fit appel à ses plus grands sorciers, afin de l'aider dans cette quête affreuse qu'est la réflexion. Et c'est ainsi, qu'en grand « génie » qu'il prétend être, il vit l'avenir. Dans une brume brumeuse telle la tête de notre affreux rédacteur en chef le matin, il aperçu le nom d'une sorte de coque flottant sur l'eau.. Et dessus s'y trouvait d'étranges objets munis d'ailes et autres queues.. [Non, je ne parle pas du sexe affolant d'un déluré alsacien.]
Il prit alors une plume du postérieur du fameux, et désormais mythique, « homme balais » pour y inscrire le nouveau nom de code. Ce n'était autre que « Ololporteavioncharlesdegaulle7410 ».
Sauf que comme vous pouvez vous en douter, les habitants de ce royaume étaient un peu comme leur dirigeant.. Limités. Effectivement, le portier ne voulait le laisser entrer car il ne reconnaissant pas ce mot.. J'ai envie de dire: Surprenant ! [Voilà, c'est dit..]
Durant une journée entière, ce pauvre seigneur est resté à la porte de son royaume, sans avoir l'autorisation d'entrer.. Jusqu'à ce qu'une grosse voix arrive, assène un coup de massue au garde, et permette ainsi à cet être faible de rentrer dans son royaume.
En effet, il était faible, prêt à se repentir, et souffrait d'un manque terrible de son royaume.. C'est qu'il y est attaché le petit.

Lullaby.

Intéressant. L'article est bien écrit.

Par contre, les petits commentaires entre parenthèse gâchent l'article